... un `skyscraper` à coté d'un banlieu (Niamey, Niger)
Etappes de velo a Niger
|
Maintenant je suis à Niamey, au Niger au bord du fleuve Niger, et ce n'était pas facile: les pneus chinois que ont été gâté (trois), plus le stress de la possibilité enlevé plus de l'environnement superdesolate: Kunuku (brusse), des nomades qui marchaient avant leurs animaux heurté, dunes de sable et la circulation occasionnelle rugit devant moi.
... pour 2000 CFA traverse du fleuve niger avec un pirogue, le 'bac' était gâtté
En Hombori j'ai été arreté par des soldats, car ici il y avait deux jours que deux Français ont été enlevés à leur hôtel étaient considérés par l'AQMI (Al-Qaïda du Maghreb Islamique). J'ai dit aux militaires que je savais ce qui s'était passé -ils insistaient que je retourne à l'sûre Mopti, Bamako. Mais mi je n'avais pas envie faire ça, je les ai dit 'c'est un pays libre, et que c'était un risque que je prendrais'. Pendant ce temps, j'ai dû attendre pour le chef, qui est arrivé après qu'il devait demander la permission pour moi à son chef. Le reste de la journée j'ai reparé des chambres d'aires et j'ai mis en place ma tente sur leur terrain.
... changer des pneus
... au secours quand la république du peuple est contre toi! (le pneux était chinois)
Quoi qu'il en soit, j'ai finalement été autorisés à passer, mais seulement le lendemain. Et le lendemain, j'étais toujours en 'détention' jusqu'à 11,00. J'étais alors vraiment fâché, car ils ne m'ont donné aucune raison. Finalement ils se sont arrivés deux équipes de télévision françaises (TF1 et ORT) qui faisait un rapportage des enlêvements des 2 français et que j'ai dû nécessairement entrevue.
... massif Tombouctou- Douentza
En Douenza j'étais dans une auberge avec un couple Hollandais, un motocycliste sud-africain et un motocycliste suédois qui a fini ont été enlevés le jour suivant à Tombouctou (sauf la femme hollandaise, qui pourrait se cacher dans la tente sur le toit de sa 4 roues motrices, un Allemand qui a refusé d'aller a été tué sur place). Tout cela s'est passé en plein jour, à 16h00, dans le milieu, au centre de Tombouctou, qui est très étrange et ce n'est pas suggérer une action de l'AQMI (l'action de Tombouctou n'est pas encore reclamé par eux l'action Hombori si était reclamait par eux ) que ses opérations bien prépare, et il y a très rarement des décès.
Le soupçon naît qu'un autre groupe a fait cet action pour extrader les touristes à l'AQMI pour obtenir une rançon, et a paniqué quand l'Allemand a refusé d'aller (il a refusé d'entrer dans la voiture).
... de gauche a droite: le Suedois, le Neerlandais et le Sud africain/
Avec cette compagnie, j'ai encore toute la nuit Douenza parlé, l'homme hollandais (Il est pilote pour la NS ()) a fait un peu d'huile dans mon ax-de-vélo qui était pulvérisé car elle craqué.
J'ai moi-même roulé 5 jours pour faire la distance Douenza à Gao à cause de ces pneus-chinois-inférieurs, à cause par les militaires qui m'ont arrêté à Dombori, et enfin 50 km avant Gao, j'ai été arreter sur la route par les gendarmes qui ressemblait aux rebelles libyens: un pick-up gris, chargé avec des Kalachnikovs et des mecs touaregs avec des turbans et des matelas (?).
Le commandant était très sympathique et a expliqué que le gouverneur de Tombouctou avait ordené de ne permettre plus des «toebaboes« (les blancs) seuls en route tout parce qu'il était devenu trop risqué. Ils m'ont transporté à Gao, ce qu'ils faisaient, après mover toutes sortes de choses ces gars-là en dehors du pick-up fut pendu à ma place pour le vélo + mes choses.
... le main du Fatima (route Douentza- Gao)
... le main du Fatima (route Douentza- Gao)
J'ai été immédiatement conduit à la base de l'armée et le colonel lui-même qui a apporté très gentils avec moi et j'ai effectivement fait le point sur ce qui s'était passé. Il parlait bien anglais, et j'ai été faire des courses à Gao, mais pas seul: il y avait une escorte armée + chauffeur. J'ai acheté des trucs comme du pain, de la confiture et des oeufs et trois solides pneus prospectifs iraniens qui, espérons-insj-Allah continueraient plus de 100 km.
...reposer (route Douentza- Gao)
J'ai demandé au colonel: 'ça va la route de Gao-Niger frontière?' . Malheureusement il était devenue rouge et chaude, le colonel me voulait tout à fait donner une escorte, mais malheureusement il n'y avait pas assez de stock de roulement, donc j'étais à 03,00 le matin sur le bus mis en place avec une soeur française et une soeur Togolaise (+ un escorte de quatre soldats armés avec kalachnikovs). Jusque-là, j'ai eu une chambre à la base militaire où j'ai pu bricoler mon vélo et pourrait chill-out (jusqu'à 03.00 je pensait).
... faire du campisme à coté du post de gendarmerie (Gossi)
J'ai eu mon vélo dehors, j'ai soudain eu à prendre (à 21,00: le commandement du colonel). J'étais assez énervé parce que dans un peu de temps je devais assembler le vélo, mettre le bagage en tête, et de toute ma merde sur le pick-up- rebelles, à 300 mètres à monter, où tout est à nouveau besoin d'un endroit où un groupe de gendarmerie était à coté de la route embosqué sous un arbre pica. J'ai dû rester là jusqu'à 04,15 ('Ici le bus jamais suivre un horaire, c'est pas comme chez vous hein!', un gendarme- épaisse m'a dit ), j'ai obtenu une chaise, des salutations et au revoir et j'étais là.
... une tente des nomades
Je n'ai pas dormi. Sous un ciel étoilé, magnifique, une feu de charbon de bois ou une gendarme m'a offert du thé toute la nuit nous avons parlé toute la nuit. La nuit était vraiment belle, le colonel est venu en peu de temps après, avec de la bière (!) Et nous avons parlé de la situation (en anglais). Il a dit que selon lui ce n'était pas le seul AQMI sinon des rebelles touaregs responsable pour les enlêvements à Tombouctou.
Ce bus était également une passe: le bus est arrivé: les gendarmes qui s'enfuient envers le bus (il n'y avait aucun obstacle sur la route, c'était une patrouille surprenant ), et avec l'arme à la main fait arrêter le bus.
Le chauffeur: un Maure- épaisse dans un brocart- chinois-plastic-violet qui a été fouille et ressemble horrifié quand j'arrive avec mon vélo et tous mes ordures dans la rue. «Impossible, il n' y a pas de place pour ce blanc et son merde!». Un soldat de mon escorte le mordre: »ordres du colonel! Je dois escorter le blanc (c'est moi :) ) et les 2 Soeurs! ».
Finalement, j'ai seulement dû sortir ma roue avant, et mon vélo + des trucs ont été hissé dans le bus (la cale était pleine). Derrière, à côté de moi et devant un gendarme avec des kalachnikovs, j'ai senti moi même superimportant cette nuit haha. L'escorte est parti à la frontière, moi j'avais un billet payé (+ 10 000 CFA, a reçu du colonel!) jusq'à Niamey. C'est mieux sortir des régions comme ça le plus rapidement possible donc je suis resté dans le bus jusqu'à Niamey.
C'était légère, un environnement de grande sécheresse, traverser la frontière, près de la pet le bus arrêt sauf pour laisser des gens sortir, sauf à laisser les choses controlés par la douane. Finalement nous avons fait 10 heures sur 400 km, bizare!.
Ici à Niamey je suis dans un camping en dehors de la ville. Aujourd'hui je suis très reposé, et ma tente se trouve sous une sorte de parapluie. On peut prendre une douche, il y a un restaurant, fondamentalement tout ce que j'ai besoin. Je dois renouveler mon visa, parce que j'ai six jours pour le Niger, arriver au Nigeria, mais j'ai besoin de plus des jours . J'ai vraiment presque rien vu de Niamey, mais c'est tout amical, vert, des arbres ombragés, parce que vous êtes chez le fleuve Niger. Il est noir maintenant, je pense que j'ai un peu de marche pour le centre et ensuite revenir.
... le Niger, ponte kennedy, Niamey
Niamey, 03/12/2012
J'ai prolongé juste mon visa avec 30 jours. Dans ces pays, il est tout simplement le meilleur avoir ces choses dans l'ordre, même si je n'ai plus rester de 5 jours dans ce pays. C'est un dommage, parce que je vais traverser le Niger, mais pas vraiment visiter, Agadez par example est une ville du désert à environ 900 km de Niamey, ce qui se trouve au nord, vaut la paine visiter, mais c'est aussi un risque, car il est assis aussi l'AQMI.
En outre, ma façon de voyager fait un contact très bon, intensif avec les habitants et on reçoit une bonne impression du pays. Sur la route de Gao par exemple il y avaient des villages- nomades que je n'aurait pas vu à partir d'un bus même pas remarqué (grâce à la coloration de la boue de camouflage).
Une Wale avec j'ai parlé pendent le procès de prolonger le visa a également dit que le nord du Nigeria est aussi un région de risque, eh bien, je ne suis pas là si longtemps, mais au moins je suis bien informé, et éventuellement détourner mon itinéraire ou demander une escorte militaire, ça fonctionne très bien.
Je vais continuer demain insj-allah, je suis excité! Il est merveilleux chaud et sec ici, vous transpirez peu, et les gents te laissent seul, très agréable.
Geen opmerkingen:
Een reactie posten