Etappes de velo R.C.A.
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Bangassou
Je suis après 9 jours à compter arrivé de Bangui à Bangassou , la 2e ville du pays. Il semble une ville décente, mais je trouve tout à fait village, car tout le monde veut savoir qui je suis, d'où je viens etc.. Rien n'est goudronné, (également les rues de la ville ne sont pas), j'ai été constamment sur un chemin de terre, avec des troux, un terrain rocailleux et rugueux. Je n'ai pas exploré le ville déjà. À l'arrivée, je 'ai toute suite bu une bière dans la «cave» au carrefour, herrlitsj!.
Parfois, je pense à temps être de retour à l'époque coloniale, dont certaines structures ont un estile coloniale, il y a un pont torride de 1943, qui s'étend sur une large rivière (PK 17 de Bangassou), avec un garçon dans une pirogue torride. Les maisons, le marché sont brune saupoudré à cause de la route sablonné où on peut boire le shey (= té). La forêt se trouve à proximité de toute façon, si elle est à Bangassou pratiquement disparu et vous verrez étroites arbres élancés dans les lignes, prévues dans le cadre d'un «Projet reforestière«.
En route
Plus et à travers les petits villages j'ai pedalé les 4 derniers jours où il n'y avait pas un fourage (dans un village proprement dit de la tête de la préfecture était 1 fourage pour tout le village, anno 2012, bizare n'est-ce pas?). Un fourage coût 200.000 FCFA -300 euros, pas beaucoup, mais il montre comment tellement pauvres ce pays est vraiment. De tout façon ce trouve dans ce pays beaucoup de rivières et 2 fois j'ai passé un chute + réservoir d'eau qui on pourrait utilisé au profit de la population...
Ennuyeux comme ce que je pouvais à peine remplir mon eau, et en plus il fait horriblement chaud pendent la journée. Je suis prudent avec demander de l'eau chez un village parce que je ne veux pas devenir malade à cause de l'eau potable polluée. J'ai filtré de l'eau 2 fois dans un peu glauque "Marigot" (= ruisseau) donc ce filter d'eau était util... Heureusement je n'ai pas de problèmes de santé, en dehors de la épuisement à la fin de la journée.
C'est ici la saison sèche (jusqu'à le mois d'Avril!), C'est un problème parce que les cours d'eau réduitent à une piscine boueuse puante où les gents cherchent de l'eau avec leurs bidons jaunes . Heureusement, il y a l'averse occasionnelle lourd, avec la taille du vent, "voll Gass!". Un peu douloureux quand ta tente est dans la brousse, mais bon pour le paysage on peut dire. Je suis maintenant autrefois dans une telle «maison catholique», ou j'ai cauzé avec père Theo , un frère de Gelderland (un province néerlandais) qui est ici depuis environ 42 ans et parle maintenant mieux le français que le néerlandais haha.
En cours de route, en dehors de la difficulté du terrain et de route en mauvais état ça va. Je vois d'agriculteurs avec leurs machettes, ou une arme à feu, mais ce sont des chasseurs. Pourtant, je dois à avaler quand je les passe et leur salute. Ce sont des armes, et tu es en Afrique. Pourtant, personne n'est pas hostile à moi, au contraire, leur gentillesse/ cordialité va souvent sur les nerfs. Si je répouse sous un arbre, ils apportent souvent une chaise, esperant que je vais converser avec eux (comme tous les Africains, c'est un peuple très sociaux), mais oui, je ne suis pas un type tellement sociale, d'ailleurs, tout à fait épuisé, et pas tellement dans l'humeur de répondre encore une fois les mêmes questions stupides à nouveau et les mots bannis, et j'ai donc une phrase clé que je répète:" Merci pour me laisser répouser seul! ".
... charger de la cotton, avant Bangassou
Au début je me sentais coupable que mon seul contact avec ce peuple semble quand je leur demande de me laisser tranquille, ou comme je me retrouve chez un tel obstacle \ barrière ou je dois expliquer aux gendarmes que mes papiers sont VRAIMENT en ordre, et adresser le répertoire habituel des questions comme: «de où êtes-vous sorti comme ça?, combien de temps votre voyage dure déjà?, pourquoi vous faites ça?« etc.etc. Mais après un certain temps même un enfant de trois ans comprend que si quelqu'un est devant toi et te observe sans gêne c'est super-irritant pour lui qui est fatigué et seulement veut répouser seul...
Une tentative d'évasion réussie
En général, il n'y pas beaucoup de voitures ici, parfois un «camion», ou un pick-up blanc brillant avec un drapeau avec le texte 'UNICEF' qui grace à ce drapeau ne sont pas arreté tout le temps par des mongols en uniforme à une «barrière» sur la route. J'ai considéré attacher moi-même un drapeau comme ça à mon vélo mais alors le risque c'est que tu vas a obtener un ensemble de questions intelligentes complètement différent que 'normal' qu'il faudra répondre. Ou vous voyez une grosse voiture saumâtre sans pare-brise, bourré de boîtes, du bois et même des gens qui ballante dehors du véhicule. Pourtant, tous ont une chose en commun: le pilote pense toujours qu' il est Allah + mohammed dans la même personne ou bien roi de la route.
L'idée est que toi en tant que piéton/ cycliste saut dans la brousse et permet ainsi une sorte de priorité au conducteur de la véhicule. (la «route» réduit généralement à un petit «chemin» bordée par le foret ou de la brousse). Moi j'ignore ça tout le temps et j'utilise généralement la meilleure partie de la route- à moyen- et habituellement les pilotes me pardonnent parce qu'ils ne voient pas chaque jour une certaine BHB (Beau Homme Blanc). Une seule fois j'ai été conduit dans la brousse par un tel pilote qui était VRAIMENT faché, fort gesticulant pour un tel manque de respect tant de moi pour lui.
C'est ici la saison sèche (jusqu'à le mois d'Avril!), C'est un problème parce que les cours d'eau réduitent à une piscine boueuse puante où les gents cherchent de l'eau avec leurs bidons jaunes . Heureusement, il y a l'averse occasionnelle lourd, avec la taille du vent, "voll Gass!". Un peu douloureux quand ta tente est dans la brousse, mais bon pour le paysage on peut dire. Je suis maintenant autrefois dans une telle «maison catholique», ou j'ai cauzé avec père Theo , un frère de Gelderland (un province néerlandais) qui est ici depuis environ 42 ans et parle maintenant mieux le français que le néerlandais haha.
En cours de route, en dehors de la difficulté du terrain et de route en mauvais état ça va. Je vois d'agriculteurs avec leurs machettes, ou une arme à feu, mais ce sont des chasseurs. Pourtant, je dois à avaler quand je les passe et leur salute. Ce sont des armes, et tu es en Afrique. Pourtant, personne n'est pas hostile à moi, au contraire, leur gentillesse/ cordialité va souvent sur les nerfs. Si je répouse sous un arbre, ils apportent souvent une chaise, esperant que je vais converser avec eux (comme tous les Africains, c'est un peuple très sociaux), mais oui, je ne suis pas un type tellement sociale, d'ailleurs, tout à fait épuisé, et pas tellement dans l'humeur de répondre encore une fois les mêmes questions stupides à nouveau et les mots bannis, et j'ai donc une phrase clé que je répète:" Merci pour me laisser répouser seul! ".
... charger de la cotton, avant Bangassou
Au début je me sentais coupable que mon seul contact avec ce peuple semble quand je leur demande de me laisser tranquille, ou comme je me retrouve chez un tel obstacle \ barrière ou je dois expliquer aux gendarmes que mes papiers sont VRAIMENT en ordre, et adresser le répertoire habituel des questions comme: «de où êtes-vous sorti comme ça?, combien de temps votre voyage dure déjà?, pourquoi vous faites ça?« etc.etc. Mais après un certain temps même un enfant de trois ans comprend que si quelqu'un est devant toi et te observe sans gêne c'est super-irritant pour lui qui est fatigué et seulement veut répouser seul...
Une tentative d'évasion réussie
En général, il n'y pas beaucoup de voitures ici, parfois un «camion», ou un pick-up blanc brillant avec un drapeau avec le texte 'UNICEF' qui grace à ce drapeau ne sont pas arreté tout le temps par des mongols en uniforme à une «barrière» sur la route. J'ai considéré attacher moi-même un drapeau comme ça à mon vélo mais alors le risque c'est que tu vas a obtener un ensemble de questions intelligentes complètement différent que 'normal' qu'il faudra répondre. Ou vous voyez une grosse voiture saumâtre sans pare-brise, bourré de boîtes, du bois et même des gens qui ballante dehors du véhicule. Pourtant, tous ont une chose en commun: le pilote pense toujours qu' il est Allah + mohammed dans la même personne ou bien roi de la route.
L'idée est que toi en tant que piéton/ cycliste saut dans la brousse et permet ainsi une sorte de priorité au conducteur de la véhicule. (la «route» réduit généralement à un petit «chemin» bordée par le foret ou de la brousse). Moi j'ignore ça tout le temps et j'utilise généralement la meilleure partie de la route- à moyen- et habituellement les pilotes me pardonnent parce qu'ils ne voient pas chaque jour une certaine BHB (Beau Homme Blanc). Une seule fois j'ai été conduit dans la brousse par un tel pilote qui était VRAIMENT faché, fort gesticulant pour un tel manque de respect tant de moi pour lui.
Très occasionnellement, et très spécial, une navigateur- venant en sens inverse- réduit sa vélocité pour réduire la poussière. Un pick-up blanc venait me rencontrer à gauche, ralentit, en criant, un type en pantoufles chemise d'estile-hawaï vient de derrière moi, courait, derrière lui une figure de la pick-up avec une Kalachnikov commence à tirer sur lui. Heureusement je ne suis pas dans la ligne de feu. Trois mètres de moi en cours d'exécution de la poursuivre dans la brousse une trentaine de secondes plus tard, le héro- Kalachnikov après lui. Je sais maintenant comment une kalachnikov sonne: bref, pop pop pop. La route est mauvaise, avec une forme d'onde, en hausse, mais je me soucie, c'est l'adrénaline pure qui me propulse vers l'avant: loin d'ici!
Environ deux heures plus tard avec la langue sur mes sandales rances dans une manière de parler, je reste dans une chaise en bambou chez un gendarme corrompu: "il faut payer!". Corrompu, parce qu'il ne regristre rien (tu es généralement enregistré dans un Grand Cahier) et je peux même négocier au courant du montant de l'argent avec lui ...
Des pièces détachées
Sur cette route mon vélo a des petits problèmes environ après 10 jours. Je dois le lubifier, nettoyer, graisser, et après ça va pour le moment. Le changeur de vitesse est déjà usé beaucoup de temps, je pédale un long temps avec ça, depuis le Guinée-Conacry, si rudement 5000 km. Pas mal du tout hein? Vraiment de l'artisanat chinois réel!. Je pense que je envoie le président du republique du peuple une note de remerciement si je arrivarai chez moi un jour-insj-allah!. J'ai maintenant 5 pneus supplémentaires, 2 changer-de-vitesses supplémentaires et 4 chaînes de sécours, fou juste, mais nécessaire. Curieusement je n'ai pas de pneus plus plats, seulement 1 fois, mais ce fut une fuite qui a été enregistrée au déchirement. Hang-Zou est derrière moi, très rassurant!.
Mission Catholique
La mission catholique, je vois vraiment comme un havre de paix à la fois physiquement et mentalement sur ce chemin brutale. De Bangui jusqu'à Bangassou j'étais 2 fois dans une mission catholique: dans Alindao je suis resté un jour de plus comme une excuse pour regarder le finale de la Coupe d'Afrique entre le Zambie et le Cote Ivoire (un match boulon, après 120 minutes encore, 0-0), mais vraiment juste pour se reposer. J'étais tellement bouleversé.
Je pourrais manger avec les praitres, deux fois par jour (il y avait aussi un petit déjeuner, mais ils ont oublié de me renseigner à ce sujet). En route c'est dificile trouver de la (bonne) nourriture, une effroyable réalité. OU ils ont élargi à manger chez eux à la maison (pas de culture de manger-hors-la-porte) ou c'est juste une vie dure ici et on vit realment seulement du manioc et du sjey \ Nescafé ...
Vous pourriez vous demander pourquoi j'ai choisi une vie si dure. Pourquoi te blesser toi-meme tellement? Tu peux également faire un tour à un des îles grecque, et là-bas être sur la plage, comme fait tant d'autres. Il est en fait le défi pur qui me pousse à continuer, voir où je peux arriver, si je vais vraiment arriver à l'Egypte, en Palestine. Je pense que je m'ennuyerai sur une île idyllique bientôt ..
Cela m'attire le monde islamique, un monde intéressant. Ici c'est rude mais belle, impressionnant. Je continue de me stupéfier comment les gens survivent ici. Le manioc doit être un élément important ...
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